Alstom a signé un second contrat d'une durée de dix ans pour assurer la maintenance de l’équipement ETCS[1] de la compagnie ferroviaire suisse SBB. Sur la période 2003-2008, Alstom a installé un équipement embarqué ETCS sur près de 500 véhicules dans le cadre de la première phase d’un programme fédéral suisse de mise en conformité avec la norme ETCS. Le contrat support conclu à l’époque est aujourd’hui prolongé de dix années supplémentaires, avec notamment une option de cinq ans. Le contrat s’élève à plus de 25 millions d’euros.
Après SNIC en 2017, le groupe RAIL INDUSTRIES (Marolles-en-Brie), poursuit sa stratégie de développement dans le domaine de la signalisation ferroviaire avec la reprise d'une activité d'IDEMIA. Pour réaliser cette deuxième opération de croissance externe, InnovaFonds, accompagné d'EMZ, investit au sein du groupe RAIL INDUSTRIES, constitué en septembre 2017 par deux ex-investisseurs, Vincent Menudier (21CP, Aquasourça) et Xavier Payet (21CP et Alpha P
Railsystems RP GmbH a commandé deux locomotives du type Vectron Dual Mode à Siemens Mobility. Il s’agit de la première commande de cette nouvelle locomotive, qui peut être utilisée à la fois comme locomotive diesel et comme locomotive électrique. Siemens Mobility avait présenté le concept pour la première fois à InnoTrans 2018 à Berlin.
Le rapport de la Cour des comptes sur la gestion des ressources humaines à la SNCF ne va pas ramener un climat serein au sein de l’entreprise ferroviaire. Elle préconise de poursuivre une politique de réduction des emplois.
Beaucoup pensent que la libéralisation du rail ne peut être reportée qu’au prix de gros sacrifices pour la SNCB. Or, la Belgique peut reporter la prochaine étape jusqu’en 2050, voire au-delà.
Alstom va livrer 19 trains régionaux électriques Coradia Continental à l’État de Bade-Wurtemberg. Le contrat, qui a été signé avec DB Regio, s’élève à près de 120 millions d’euros. Les trains seront construits sur le site Alstom de Salzgitter.
Après la mise en faillite de leur maison-mère British Steel en mai, les 440 salariés du site sidérurgique savaient qu’ils allaient changer de propriétaire avant la fin de l’année 2019. C'est le groupe chinois Jingye qui a été choisi par le mandataire britannique.