Le groupement constitué par Keolis (groupe SNCF) et RATP Dev a remporté son duel franco-français face à Transdev. Il a été retenu lundi pour exploiter le futur train rapide CDG Express qui doit relier Paris à l'aéroport de Roissy en 20 minutes, à temps pour les jeux Olympiques de 2024.
C’est l’un des projets phares de l’avenir du transport ferroviaire. Mais faire circuler un train autonome s’avère autrement plus complexe qu’automatiser une rame de métro. Car les exigences en matière de sûreté sont très élevées.
Emmanuel Macron et le roi du Maroc inaugurent ce jeudi la première ligne à grande vitesse (LGV) d'Afrique, longue de 200 km entre Tanger et Kenitra. Cette LGV, bâtie avec le soutien de la SNCF et les rames TGV, fournies par Alstom, mettront Casablanca à 2h10 de Tanger contre près de 5h00 actuellement.
Selon l’édition européenne du média américain Politico, la future fusion entre les deux constructeurs européens est remise en cause. Et Siemens envisage un plan B.
Le groupe ferroviaire, qui s’est engagé à améliorer sa performance énergétique, explore différentes pistes pour atteindre ses objectifs. L’une d’elles consiste à récupérer l’énergie de freinage et à la stocker pour la réutiliser.
Tous les trois jours un accident se produit à un passage à niveau. 36 personnes en moyenne y perdent la vie chaque année. Le bilan ne baisse pas depuis 15 ans.