La SNCF va créer avec l’équipementier télécoms Nokia un laboratoire commun afin de préparer la transition des technologies de communication utilisées aujourd’hui pour la signalisation ferroviaire et reposant sur le standard GSM-R vers le système de type 5G FRMCS (Future Railway Mobile Communication System).
Pas de grande vitesse sans ligne… à grande vitesse ! Une évidence que SZDC, le gestionnaire d’infrastructure tchèque, a mis en avant dès 2017 pour justifier le lancement de nouvelles infrastructures ferroviaires, dDans la mesure où la remise à niveau des lignes existantes associée à l’emploi de matériels pendulaires n’ont ici - comme ailleurs - pas suffit à obtenir des performances suffisamment attractives.
Passé de 80 à 200 emplois en trois ans, Siemens recrute encore à Toulouse, où l'entreprise a installé le siège mondial de son activité VAL, du nom de ses métros automatiques.
Les salariés des deux entreprises seront en première ligne lors de la grève contre la réforme des retraites, prévue jeudi 5 décembre. Ils entendent ainsi défendre leurs régimes spéciaux, qui se différencient notamment par leur mode de calcul et la date d'ouverture des droits
Développé par CLEARSY, cet outil logiciel permet de construire des outils de validation formelle de données, quelques soient leurs spécificités. Certifié T2, selon la norme Cenelec EN 50128 (projets ferroviaires de niveau SIL4), il accélère significativement le processus de validation des données.
Alstom a signé un contrat d'un montant total de 194 millions € avec l’opérateur italien FERROVIENORD[1] pour la fourniture d'un premier lot de 31 trains régionaux destinés à la Région Lombardie. Ce premier contrat relève d'un accord-cadre qu’Alstom a également signé aujourd’hui avec FNM[2] S.p.A. Les trains seront livrés progressivement à compter de 2022.
La SNCB va étudier l’an prochain la possibilité d’exploiter des trains à hydrogène, peut-on lire dans le Plan National Energie-Climat (PNEC) adopté vendredi par le gouvernement fédéral.
Île-de-France Mobilités et la RATP passent une commande historique auprès du groupement Alstom-Bombardier afin de poursuivre la modernisation sans précédent de tous les transports franciliens initiée depuis 2016. Un maximum de 410 trains MF19, pour un montant de 2,9 Mds €, pourront être commandés afin d'améliorer le confort et la fiabilité de ces rames nouvelles génération au service des 7 millions d'utilisateurs quotidiens du métro parisien. Une première commande ferme de 44 trains est passée par Île-de-France Mobilités et la RATP.