Altametris, une culture de l’exigence industrielle. Altametris fournit des outils et des résultats sécurisés, qualitatifs et fiables. L’entreprise, grâce à la précision de ses géomètres-topographes, au pragmatisme de ses anciens de l’armée et à l’intuition et à la curiosité de ses analystes, ingénieurs et docteurs, œuvre au développement de solutions ferroviaires innovantes. Au cœur de sa culture se trouve l’envie de faire bouger les lignes pour amener plus de performance via des solutions industrielles agiles. Chez Altametris, les drones ne servent pas seulement à acquérir de la Data, ils servent aussi à prendre de la hauteur…et de l’avance.
Face à la perspective de voir la SNCF et l'Etat français choisir le constructeur espagnol CAF pour fabriquer plus de 100 trains intercités de la SNCF, le PDG d'Alstom, Henri Poupart-Lafarge, explique à La Tribune les menaces que ferait peser un tel choix sur l'usine alsacienne de Reichschoffen et ses plus de 800 emplois. Les syndicats d'Alstom ont interpellé le gouvernement à ce sujet.
L'expérimentation portera sur une cinquantaine de stations et s'étendra sur six mois à compter du 14 septembre, selon les informations du « Parisien ».
Nationalisation, ligne à grande vitesse, revitalisation du secteur... Au milieu du tumulte politique entourant le Brexit se joue aussi l'avenir des chemins de fer britanniques, fleuron historique à l'aura ternie par des retards à répétition, tarifs en hausse et multiples polémiques.
Faire circuler les trains est un travail de précision et un système rodé. Mais il ne va pas toujours sans aléas. Petit voyage en compagnie de Karine Ongaro, directrice de l’établissement infra-circulation (EIC) Pays de la Loire de SNCF Réseau.
En apparence, l’Alfa-X ressemble au N700S, un train de la JR East (la compagnie ferroviaire japonaise) qui devrait être mis en service en 2020, pile à temps pour les Jeux Olympiques. Contrairement à ce dernier qui roulera à la même vitesse que les autres trains du pays, l’Alfa-X devrait parcourir le Japon à une vitesse de 360 km/h, pouvant atteindre une vitesse maximale de 400 km/h. Cette même vitesse serait destinée aux transports de marchandises, faisant de lui le train commercial le plus rapide du monde.
Verra-t-on des trains autonomes d’ici 2023. C’est en tous les cas l’objectif que se sont fixé deux consortiums. Les équipes de la SNCF et d’Alstom se retrouvent ce jeudi à Belfort pour débuter les essais.