Comment SYSTRA préserve la biodiversité dans ses projets
A l'occasion de la Journée mondiale de la biodiversité, découvrez comment SYSTRA intègre les enjeux de biodiversité à ses projets.
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Des béNéfices essentiels
Saviez-vous qu’environ la moitié du PIB mondial dépend des écosystèmes naturels er de la biodiversité ? Ils nous offrent en effet des bénéfices essentiels, tels que la régulation du climat.
Cependant, à cause des activités humaines, la biodiversité se dégrade. Et le développement d’infrastructures est considéré comme responsable d’environ 25 % de cette perte.
De quoi parle-t-on ?
La biodiversité, c’est :
. La diversité des milieux de vie à toutes les échelles – les écosystèmes des océans, prairies, forêts…,
. La diversité des espèces animales et végétales,
. La diversité génétique des individus au sein de chaque espèce.
Célébrée chaque année le 22 mai, la Journée mondiale de la biodiversité trouve son origine dans la signature de la Convention sur la diversité biologique (CDB) à Nairobi en 1992.
Comment intégrons-nous la biodiversité dans nos projets ?
Chez SYSTRA, conscients de cet enjeu, nous intégrons des stratégies de préservation de la biodiversité dans nos projets.
En premier lieu, nous utilisons des indicateurs, tels que « pas de perte nette » (NNL pour “no net loss“) ou « gain net » (NG pour “net gain“).
Le premier vise à garantir que les conditions de vie de la biodiversité restent similaires avant et après le projet, sans favoriser les espèces invasives. Le second cherche à améliorer ces conditions.
Par ailleurs, nous nous appuyons sur 3 principes clés pour préserver la biodiversité : Éviter, Réduire, Compenser (ERC). Cette approche s’applique notamment aux impacts sur les habitats naturels et à la fragmentation des écosystèmes.
Voici deux exemples d’application sur nos projets à travers le monde :
En Suède, le No Net Loss (pas de perte nette) est devenu la norme ; avant chaque projet d’infrastructure, l’état initial de la biodiversité est minutieusement observé et quantifié avec un système de notation codifié pour qualifier chaque espace. Cette méthodologie a été déployée par les équipes de SYSTRA Suède sur le projet de doublement de capacité ferroviaire pour la liaison Krylbo-Dalslund au Nord-Ouest de Stockholm en réponse aux exigences du client.
Au Royaume-Uni, le No Net Loss a été déployé sur les grands projets d’infrastructure comme la LGV HS2. Désormais, les attentes des clients vont au-delà du NNL, et comprennent une approche Biodiversity Net Gain (BNG), créatrice de valeur pour la biodiversité. Il s’agit d’aller plus loin en démontrant que le projet aura un impact positif sur celle-ci. C’est ce qui a été mis en œuvre par les équipes de SYSTRA Royaume-Uni et Irlande sur deux projets : la conception de l’embranchement routier de Grovehurst et l’assistance à Network Rail sur le réseau ferroviaire du Sud de l’Angleterre.
"En Suède, chaque projet d’infrastructure ferroviaire doit s’efforcer de démontrer l’absence de perte nette pour la biodiversité. C’est un impératif pour l’obtention du permis de construire et c’est intégré dans les pratiques de SYSTRA. Qualifier et quantifier l’état initial de la biodiversité dans le périmètre du projet est une étape cruciale."
Jonas Jansson, écologue, SYSTRA Suède
Afin de sensibiliser ses équipes aux enjeux de la protection de la biodiversité, SYSTRA organise le 22 mai un webinaire interne sur ce sujet, et propose à ses collaborateurs un programme d’e-learning autour de sa “Trajectoire Climat”.
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